Les moyens de financement
pour les petites structures
Les différents statuts existants pour les petites structures
Pour toute se, le choix du statut juridique à adopter est primordial. Ce choix se définit selon les activités de l’entreprise, les objectifs à court et à long terme de celle-ci, la situation financière de l’entreprise, le nombre d’associés...
Pour les petites structures, l’on compte l’Entreprise Individuelle (EI), l’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL), la Société à Responsabilité Limitée Unipersonnelle (SARLU), mais aussi la société par actions simplifiée (SAS) semblable à la SARL mais plus intéressante et plus souple. Une SAS comprend au moins 2 associés, aucun capital minimum n'est imposé. Le capital peut être variable. Elle peut ne comprendre qu’un seul associé, dans ce cas, elle se nomme SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle).
Pour les PME et TPE, le statut juridique EI est la plus simple pour démarrer sa première entreprise. La société sera mise à votre nom et les avantages sont réduits au minimum. Le dirigeant n’aura pas besoin de faire appel à l’assemblée générale, ni de faire un rapport sur la gestion des activités et encore moins de publier ses comptes sociaux au RCS. Le statut de l’auto entrepreneur est encore plus intéressant.
Pratiquant une activité professionnelles mais indépendante, il sera reconnu sous le statut d’Entrepreneur Individuel. Il pourra générer des revenus sous le statut social de dirigeant TNS, un régime micro-fiscal simplifié et à responsabilité illimitée.
Les types de crédits bancaires pour PME
Essentiel tout au long de la vie d’une entreprise, le financement est le levier de sa croissance et cela dès sa création. Pour les indépendants, commerciaux et artisans, les crédits pour PME et TPE ou crédits professionnels ne manquent pas.
Ces investissements financent en général, les besoins en équipement, en immobilier et en trésorerie. Les banques les qualifient en prêt amortissable via l’escompte, l’affacturage ou le crédit-bail. La plupart du temps, en France, il est rare que les banques rejettent les demandes de crédits professionnels. Avec la récession qui sert de plus en plus les cordons de la bourse, la barre maximale est fixée à 25 000 euros. Toutefois, bon nombre de dirigeants PME, TPE et auto entrepreneurs se plaignent du manque de garantie allant jusqu’à 31% et du crédit de caisse trop élevé. Pour certains, mieux vaut se fier à ses fonds propres.
Les autres sources de financement
Du point de vue social, l’auto entrepreneur peut bénéficier également d’un coup de pouce selon sa situation personnelle. Parmi ces aides se distinguent l’ACCRE (Aides aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise) et le FGIG (Fonds de garantie à l’initiative des femmes). Pour touts évènements d’entreprise où il est possible de recourir à ses fonds propres, c’est-à dire à un financement interne, plusieurs moyens tels que le financement participatif ou le Crownfunding sont envisageables.
Destiné à soutenir des projets sociaux ou humanitaires, il convient également à la création d’entreprise comme la levée de fonds start-up. Généralement effectué sur internet ou via d’autres supports médias, la campagne de collecte de dons ou de prêts est plus efficace avec des objets de communication.
Autant pour susciter l’attention des contributeurs que pour les remercier, ces objets de communication personnalisés ne coûtent pas chers (à partir d'une trentaine de centimes d'euro) et sont un outil pour faire connaître déjà votre entreprise à vos futurs clients.
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